Exposition Saul Leiter
Après quelques tâches ménagères expédiées ce matin, un tour dans les magasins où je suis ressorti avec un nouveau costume (mais pas de chaussures qui vont bien avec), un peu de temps pour flâner dans deux librairies à regarder les nouvelles BD (mais je n'ai rien acheté) et pour voir que les romans policiers de Per Wahlöö et Maj Sjöwall ressortaient chez Rivages (le vendeur les conseillant à chaque client, ce en quoi il n'avait pas tort), j'ai fait comme Tiusha et je me suis rendu à la fondation Henri Cartier-Bresson.
Tout comme Tiusha , j'ai bien aimé la petite centaine de photographies, prises entre la fin des années 40 et le début des années 60, exposées dans les deux salles de l'exposition, même si j'en parlerai beaucoup moins bien. Saul Leiter est un photographe discret, pas de gros plans, pas de portraits mais des instants saisis derrière une vitre, jouant avec les reflets, les sujets de ses photos ne le voyant rarement...
Une trilogie de photos exposée côte à côte avec le rouge comme point commun m'a beaucoup plu.
Tout comme Tiusha , un peu de monde vu que c'est la fin de l'expo, mais même avec mes rollers dans le dos, je n'ai gêné personne donc c'était plutôt agréable. Par contre, j'ai du payé l'entrée (6 euros)... Pas donné pour une exposition tout de même assez courte...
Tout comme Tiusha , je m'y suis rendu en roulant et en pestant contre la circulation mais en roller et non pas en vélo. Mais je suis d'accord sur la difficulté de circuler dans Paris ! La pluie de l'après-midi ne m'ayant pas autorisé à faire le retour, j'ai pris le métro pour rentrer.
Tout comme Tiusha , j'ai bien aimé la petite centaine de photographies, prises entre la fin des années 40 et le début des années 60, exposées dans les deux salles de l'exposition, même si j'en parlerai beaucoup moins bien. Saul Leiter est un photographe discret, pas de gros plans, pas de portraits mais des instants saisis derrière une vitre, jouant avec les reflets, les sujets de ses photos ne le voyant rarement...
Une trilogie de photos exposée côte à côte avec le rouge comme point commun m'a beaucoup plu.
Tout comme Tiusha , un peu de monde vu que c'est la fin de l'expo, mais même avec mes rollers dans le dos, je n'ai gêné personne donc c'était plutôt agréable. Par contre, j'ai du payé l'entrée (6 euros)... Pas donné pour une exposition tout de même assez courte...
Tout comme Tiusha , je m'y suis rendu en roulant et en pestant contre la circulation mais en roller et non pas en vélo. Mais je suis d'accord sur la difficulté de circuler dans Paris ! La pluie de l'après-midi ne m'ayant pas autorisé à faire le retour, j'ai pris le métro pour rentrer.